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Détails sur le produit
- Publié le: 2017-04-28
- Sorti le: 2017-04-28
- Format: Ebook Kindle
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Le rosier délire et on y perd la tête
Par Dr Jacques COULARDEAU
Une historiette que l’on peu appeler nouvelle de Guy de Maupassant dans son plus pur style si grotesquement caustique et satirique qu’il en devient hilarant et ce qui devait être une critique acide de la bourgeoisie parvenue de Normandie – comme Madame Bovary de Gustave Flaubert – ainsi que de la pruderie vierge et totalement stérile et impuissante d’une vieille rombière tout aussi vieille fille mais riche qui vit cul et chemise avec Jésus Christ et le Bon Dieu, et l’âme entièrement conquise par le célibataire curé du village, pardon de la paroisse. Celui-ci n’est pas près de tomber dans les rets de Madame Husson car Madame Husson n’a pas de rets. Elle n’a tout au plus que des rots, des hauts-le-cœur, des nausées devant les cochonneries, pour ne pas dire cochonnailleries ou autres activités porcines ou dignes d’un goret, que les jeunes font aux quatre coins de la rue Dauphine comme il se doit, car c’est rue Dauphine que tout arrive dans ce monde.Je ne raconterai pas l’histoire, connue comme le loup rouge, le loup qui boit du gros rouge qui tâche bien sûr, mais je dois dire que Maupassant fait un peu fort en son temps contre les Allemands qu’ils ne haït point et les Anglais qu’il honnit fort et bien Ecoutez un peu ces deux morceaux de bravoure jingoïste ou pourrions-nous dire chauviniste : plus Affront Nationaliste que moi tu meurs, mon pauvre Guy.« Ainsi moi, je suis Normand, un vrai Normand ; eh bien, malgré ma rancune contre l’Allemand et mon désir de vengeance, je ne le déteste pas, je ne le hais pas d’instinct comme je hais l’Anglais, l’ennemi véritable, l’ennemi héréditaire, l’ennemi naturel du Normand, parce que l’Anglais a passé sur ce sol habité par mes aïeux, l’a pillé et ravagé vingt fois, et que l’aversion de ce peuple perfide m’a été transmise avec la vie, par mon père... […]« Puis j’appris que Clotaire II avait donné le patrimoine de Gisors à son cousin saint Romain, évêque de Rouen, que Gisors cessa d’être la capitale de tout le Vexin après le traité de Saint-Clair-sur-Epte, que la ville est le premier point stratégique de toute cette partie de la France et qu’elle fut, par suite de cet avantage, prise et reprise un nombre infini de fois. Sur l’ordre de Guillaume le Roux, le célèbre ingénieur Robert de Bellesme y construisit une puissante forteresse attaquée plus tard par Louis le Gros, puis par les barons normands, défendue par Robert de Candos, cédée enfin à Louis le Gros par Geoffroy Plantagenet, reprise par les Anglais à la suite d’une trahison des Templiers, disputée entre Philippe-Auguste et Richard Coeur de Lion, brûlée par Edouard III d’Angleterre qui ne put prendre le château, enlevée de nouveau par les Anglais en 1419, rendue plus tard à Charles VII par Richard de Marbury, prise par le duc de Calabre, occupée par la Ligue, habitée par Henri IV, etc., etc.. etc.“Et Marambot, convaincu, presque éloquent, répétait :« Quels gueux, ces Anglais ! ! ! Et quels pochards, mon cher ; tous Rosiers, ces hypocrites-là. »Le Brexit est une invention française et bien plus ancienne que l’on pourrait croire. C’est d’autant plus amusant que c’est un duc de Normandie qui conquit l’Angleterre en 1066 à Hastings faisant ainsi des rois anglais rien de moins que des ducs de Normandie légitimes.De cette histoire il ne reste que l’immense mépris de Maupassant pour les villes de province qui n’a d’égal que Jules Romains et Les Copains avec Issoire-Passoire et Ambert-Camembert. Ici on fait dans Gisors-Isidore, ne réveillez pas l’ivrogne qui dort en Isidore. Et ces copains-là, ceux de Gisors, eau bénite, curé et vieille fille stérile n’ont rien à voir avec ceux du radeau de la méduse de Brassens, pas plus que cette ville de province n’a rien de bien loin d’avec celle de Jacques Brel de passage a Vesoul par le caprice d’une femme comme une autre.Je vous souhaite donc le plaisir de lire ce Guy de Maupassant et de ne pas vous étrangler ni vous étouffer sur l’horreur qui est la sienne contre tout ce qui est la France profonde, l’humanité première et naturellement primitive dans nos sociétés pas encore complètement mais déjà un peu de consommation. Guy de Maupassant a vieilli, comme Zola d’ailleurs. Mais George Sand devrait vous charmez car elle a gardé une dimension féérique, voire enfantine, tout comme Colette et ses Dialogues de Bêtes.Dr Jacques COULARDEAU
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Un rosier cache toujours quelques épines.
Par Gerard Müller
Le rosier de Madame Husson/Guy de Maupassant Raoul Aubertin, le narrateur rencontre son ami le Docteur Marambot dans sa bonne ville de Gisors. Lequel après les civilités d’usage lui conte une histoire assez curieuse quand ils font la rencontre d’un ivrogne.C’est l’histoire de Madame Husson, une vieille dame très vertueuse et protectrice de la vertu, qui s’occupe des bonnes œuvres, secourt les pauvres et encourage les méritants.Petite, trottant court, ornée d’une perruque de soie noire, cérémonieuse, polie, elle avait en horreur le vice et la luxure. Elle souhaite innover et décerner solennellement un prix de la vertu pour Gisors symbolisé par une couronne de roses. D’où le nom de rosière donné à la jeune fille vertueuse et candide qui sera élue.Il s’avère après enquête rondement menée qu’aucune jeune fille ne répond aux critères requis.Alors Madame Husson va choisir un rosier en la personne d’Isidore, garçon timide, chaste et naïf, connu de tout le bourg, à défaut de rosière.Notons que c’est Maupassant qui a inventé le nom masculin dans cette nouvelle.« Qui saura et qui pourrait dire le combat terrible livré dans l'âme du rosier entre le mal et le bien, l'attaque tumultueuse de Satan, ses ruses, les tentations qu'il jeta en ce cœur timide et vierge? »Cette brève nouvelle teintée d’humour veut nous montrer le ridicule d’un prix de la vertu. Car comment définir la vertu ? Surtout livrée en pâture au public !Notons aussi le chauvinisme bien français dont fait preuve le Dr Marambot quand il fait visiter la ville de Gisors au narrateur, un caractère que décrit avec moquerie Maupassant dont le style alerte, ironique et incisif nous régale une fois de plus.Que va devenir le rosier de Madame Husson une fois le prix décerné ? Saura-t-il rester vertueux à jamais pour donner son nom à tous les hommes vertueux ?
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Classique
Par LOUKSOR
Pour un membre d'une EPAD à côté de Gisors qui ne connaissent pas ce texte dont le départ se situe dans la bonne ville de GISORS.
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